Depuis 2021

Musique d’une rêverie d’été, mots fredonnés sur des notes synthétiques, pour partir à la recherche d’un petit bonheur qui, somme toute, se trouverait au coin de la rue. Il en faut peu : deux claviers, une basse, une boite à rythme et une voix pour parler spleen en sirotant une belle mélopée moins triste qu’elle en a l’air.

Ils reviennent au Café de la Loire !
Loin des errances capillaires et du chahut disparate des musiques dites actuelles, Food Fight trace son sillon de cœurs mous à cuir noir dans les bouges mal famés de l’underground français.
Fondé à Rennes en 2020, le bouillonnant quatuor puise sa powerpop dans l’énergie du punk des origines, la digne détermination de la classe ouvrière britannique et les harmonies des glorieuses 60’s.

Welsh musician and singer and songwriter based in Nantes.

Réouverture mercredi 11 mai, 10 heures

Venez chanter, dire ou slamer textes ou chansons de votre choix.

En disant « Soap Opera », on entend presque le mot « pop ». Et cette hallucination auditive ne tombe pas très loin de ce qu’avaient en tête des membres de Sudden Death of Stars et d’Initials Bouvier Bernois lorsqu’ils ont fondé ce groupe : proposer à qui veut les entendre des compositions bien tournées, faisant la part belle aux ritournelles entêtantes et autres prodiges dérisoires de la musique populaire.

Le Café de la Loire a un an

Aaron Jonah Lewis et Thomas Bailey, multi instrumentistes, jouent ensemble depuis plus de vingt ans. Wild Hog est une formation de musique traditionnelle, inspirée notamment de Miles Davis.

Alaska Gold Rush sculpte son free folk garage dans le songwriting folk pour en extraire des formes nouvelles. Le duo bruxellois déroule ses histoires dans des chansons habillées de textes poétiques et de subtiles mélodies avec une combinaison guitare-batterie impressionnante. Renaud Ledru (guitare, chant) et Nicky Collaer (batterie) remplissent à eux deux tout l’espace en alternant avec nuance les passages intenses et les moments d’accalmie dans un mouvement de vague envoûtant. Un peu comme si Two Gallants rencontrait Big Thief.

Groupe de bluegrass né en décembre 2021 à Toulouse.
Fou et amoureux de cette musique, le bluegrass prend racine entre la musique old time, la country et le blues. Pour faire un dessin c’est : le banjo sous le porche d’une cabane en bois, la guitare rythmée et énervée, et les harmonies vocales qui font des guilis dans le ventre. Cela nous rappellent les chants de la famille Carter avec des timbres de voix nasillards. Souvent pour chanter le quotidien des gens, ces chansons racontent le train de vie des paysans, des ouvriers, de la classe populaire des habitants des Appalaches, dans la région sud-est des État-Unis. Le bluegrass est un style en vogue dans la région toulousaine, et qui cherchent à en convertir plus d’un !
Prenez votre ticket en gare et montez sur les rails du bluegrass pour découvrir les paysages musicaux que cette musique outre-atlantique peut offrir.
Influences Country / Blues et Dinosaures
Guitare / chant : Damien Mélich, Zoé Beaudouin
Banjo / chant : Mathieu Viry

Teenage Bed manie le songwriting comme on cisèle un bloc de granite, avec force et habileté. Un art qu’il a su parfaire au cours de plusieurs mois passés aux États-Unis, notamment au côté de la scène lofi de Philadelphie (Shelf Life, Alex G, Yung Sham…). Sur scène il s’accompagne d’un lecteur K7 pour bricoler une musique enveloppante qui oscille entre maturité folk et nonchalance pop grunge.

Ensembles jazz, musiques métissées et improvisation, issus de l’école de musique Sud Estuaire.
(Sous la houlette de Thimothee Liotard et Gilles Belouin)
Chant, piano, guitare, trompette, saxophone, trombone, vibra, marimba, basse.

Flaubert, Michelet, Stendhal, Jules Verne et Nabokov sont passés à Paimbœuf. Ils ont touché cet endroit incertain du fleuve et de la mer, ils ont eu des mots pour l’estuaire qui seront lus en de courts extraits avec un filage musical. Il est étonnant de lire et d’entendre des auteurs au départ d’un voyage, chacun pour leur raison, chacun pour leur retour. Ce mélange croisé, ces impressions différentes forment un tableau d’estuaire, le pointillé de l’embouchure.
Performance organisée par l’association L’Écrit Parle, les éditions Bardane, la librairie Les Idées Larges et la mairie de Paimbœuf, facilitée par le Café de la Loire.
Dans le cadre de Loire 725
Photo Na Macha

À partir de 19h30 : grillades de poissons sur l’estacade
22h : performance de peinture sur la voile du voilier et musique originale
En association avec la mairie de Paimbœuf, dans le cadre de Loire 725

Ensembles jazz, musiques métissées et improvisation, issus de l’école de musique Sud Estuaire.
(Sous la houlette de Thimothee Liotard et Gilles Belouin)
Chant, piano, guitare, trompette, saxophone, trombone, vibra, marimba, basse.

Conférence jouée sur le banjo

Orchestre quasi-rennais de jazz mod sur ressorts et de bandes sonores désuètes pour films policiers imaginaires.

Musiciens de musiques traditionnelles acoustiques nord-américaines, ces deux acolytes vous feront voyager des montagnes Appalaches aux plaines du grand Ouest en passant par les marécages du sud à travers un répertoire basé sur les harmonies vocales, la guitare et la mandoline.
En tournée exclusive en Loire-Atlantique organisée par l’association Dona Iemanjà pour la sortie de leur deuxième album American Roots Music II

Superpocket est un trio.
Pérégrinations sonores poétiques parfois naïves, faussement simplistes.
Un petit ensemble de musique de chambre qui aime à se métamorphoser en groupe de rock qui flirt avec la transe ou la noise.
Un laboratoire de poche où on construit et déconstruit avec de multiples influences, pour confectionner des chansons sans texte, des pièces à tiroirs pop, des collages où le jazz s’invite sans jamais s’imposer.
Et ils reviennent au Café de la Loire

Concert de clôture du festival Éole en Musiques

Lorcan Fahy & Jérémie Fraboni
Mountain music from the flat country. A fiddle/banjo duo that revisits songs at the roots of American music. Welcome to 1905, in the Belgian Appalachians.

Le Café de la Loire, responsable de la programmation des concerts de la septième édition du festival Détours à Paimbœuf.

Samedi 3 septembre

14h30 : Barentz Bailead
Ensemble paimblotin et d’alentour, éphémère et informel, de ballades irlandaises.
16h30 : Juan Manuel Vazquez
Chansons populaires de la America morena
La voix de Juan Manuel Vazquez, accompagnée de sa guitare, nous entraîne dans une aventure contre l’oubli. Au creux d’une poignée d’histoires, dans un curieux paysage de rythmes et de poésies, il chante les forces, les résistances, les transgressions et les nostalgies de peuples de la America morena.
19h : Pig Society
Collectif de musique traditionnelle américaine à géométrie variable mais au talent constant.

Dimanche 4 septembre

15h30 : Food Fight
Loin des errances capillaires et du chahut disparate des musiques dites actuelles, Food Fight trace son sillon de cœurs mous à cuir noir dans les bouges mal famés de l’underground français.
Fondé à Rennes en 2020, le bouillonnant quatuor puise sa powerpop dans l’énergie du punk des origines, la digne détermination de la classe ouvrière britannique et les harmonies des glorieuses 60’s.

Lent s’égaye des genres, des mots, et des allures.
Aux grains d’une amplification chaleureuse, le groupe procède par jeux de coupes, décalages et assemblages, pour créer un univers où prospèrent lièvres, tortues, fontaines et fabulations versatiles. Musiques et paroles se suivent et se poursuivent à chassé-croisé des sens dans une déflagration de formes et d’images. On goûte par tranches à des tons post-rock, youpi-jazz, psych-pop, et autres nectars d’hybridations menées sans scrupules depuis 2018. Et dans ces espaces propulsés à cœur ouvert, la voix déploie des ballades ciselées d’incises en jouant des tons, des sons et des syntaxes.
Lent chasse l’absurde, mais il revient au galop.
Guillaume Aknine, guitare / Valentin Ceccaldi, basse, claviers / Robin Mercier, voix, paroles, sp-404 / Matthieu Metzger, saxophone, bidule, claviers / Florian Satche, batterie

Trio de Tours et Poitiers.

Flamenco Thief France Tour 2022

Épaule de singe, c’est l’enfant surprise de l’acid techno et de la chanson française.
Épaule de Singe, c’est deux musiciens qui errent dans une jungle de sonorités tropicales, de hip-hop et de post-punk.
Épaule de Singe, c’est un sampler, une guitare, un chanteur et un renard empaillé.
Épaule de Singe, c’est une boom d’adolescentes avinées qui se gavent de carambars en pleurant la mort de Ian Curtis.
Épaule de singe, c’est le bizarre, l’instable. C’est le sourire jaune sous les yeux noirs.

Réouverture mercredi 2 novembre, 10 heures

Altavoz distille une musique originale, joyeuse et psychédélique, inspirée des Balkans, de l’Afrique, du Moyen Orient et du bastringue, dans laquelle l’accordéon se mêle à l’orgue Farfisa, et la batterie aux klaxons et aux jouets.
Jérôme Soulas : accordéons Farfisa
Patrick Gigon : batterie foutraque, objets sonores
Emilio Castiello : violon 

Chaque inscrit joue avec tous les autres inscrits.

Chaque inscrit joue avec tous les autres inscrits.

Ensemble local de ballades irlandaises.

Temps d’échange et d’information entre aidants de proches malades, en situation de handicap ou dépendants âgés.
Rencontre organisée par l’Association Française des Aidants.

Claire, voix / Gérard, guitare / Florence, cajon / Spoutnik, bandonéon

Réouverture samedi 4 février, 11 heures

DJ Al!X – L’Hiver

Film original de Victor Montenegro mis en musique par Tim Le Net et Stan Amblard.
Polardéon est d’abord un film, réalisé par Victor Montenegro du collectif C’est la Mort de l’Art, mais aussi de la musique, composée et interprétée par Tim Le Net et Stan Amblard.
Victor Montenegro et Tim Le Net, à l’origine du projet, sont rapidement rejoints par Stan Amblard et réalisent un cinéma-concert complètement original. Le film muet et la musique opèrent des allers-retours menant la danse en un crescendo jusqu’à la catharsis.
Après avoir travaillé un grand format de spectacle, l’équipe a voulu adapter ce ciné-concert à un format salon, ici présenté.

Un groupe vintage sous influence de la pop des années 1960 et du ballon rond des années 1990.

[…] Chez eux, ce sont les fantômes d’Arvö Part, Smog ou Satie qui mènent la danse. Dans l’ombre d’un Cohen aussi. Et si les projets sont emmenés par la même lame de fond – ou presque – au niveau des influences, les réalisations n’en sont pas moins différentes. Guitare électrique et voix sépulcrale chez Benjamin, guitare acoustique et voix diaphane chez Nicolas. Mais, les deux musiciens, tendent bien vers le même désir de soustractif, de non-dit, de musique par empreinte. Comme un éloge à la lenteur (parfois), à la profondeur et au vide résonnant (souvent). […]

Dessins réalisés par l’artiste en trois recueils : un premier de Saint-Nazaire à Donge (publié), un deuxième de Paimbœuf à Nantes et un troisième des voyages au long cours (à venir).

Vous entendrez des chansons qui parlent avec humour et tendresse des sentiments – bons et moins bons – qui traversent l’âme et le cœur de chacun, avec l’espoir toujours au bout ! Les harmonies et rythmes qui les portent sont teintées de jazz, de blues et de musique sud-américaine ; influences engrangées lors de nombreuses pérégrinations musicales sur les scènes françaises et colombiennes, lors d’une ancienne vie de guitariste side-man. La guitare joue ainsi un rôle de premier plan, quittant parfois sa fonction de simple instrument accompagnateur, pour s’exprimer pleinement dans de fières envolées acrobatiques !

Projection de courts-métrages dans le cadre de La Fête du Court-Métrage.
En collaboration avec La Boîte Carrée.

Top départ, 2′ – une histoire de famille
Avec Thelma, 14′ – des nouvelles de la petite
Beach Flags, 14′ – une histoire de femmes
La Révolution des crabes, 5′ – une histoire d’émancipation
ENTRACTE
Les Deux couillons, 19′ – une autre histoire de famille
Empty Places, 8′ – une histoire muette
L’Homme silencieux, 14′ – la fin.

Avec Blaize, Go, Léonard, Atide et Illy.
Précédé à 20 heures d’une déambulation paimblotine par La Boîte Carrée

La tradition des Brothers Duets dans un duo folk / bluegrass résolument moderne.

Pour la deuxième fois au CdlL !
Superpocket est un trio.
Pérégrinations sonores poétiques parfois naïves, faussement simplistes.
Un petit ensemble de musique de chambre qui aime à se métamorphoser en groupe de rock qui flirt avec la transe ou la noise.
Un laboratoire de poche où on construit et déconstruit avec de multiples influences, pour confectionner des chansons sans texte, des pièces à tiroirs pop, des collages où le jazz s’invite sans jamais s’imposer.
Et ils reviennent au Café de la Loire

Guitare, voix, violon.
L’auteure, compositrice et interprète Anna Greenwood est née dans un petit village de la côte est d’Angleterre. Ses ballades, intimistes, nous portent vers un monde mélancolique empreint de rêves, d’instants fragiles.

Teenage Bed manie le songwriting comme on cisèle un bloc de granite, avec force et habileté. Un art qu’il a su parfaire au cours de plusieurs mois passés aux États-Unis, notamment au côté de la scène lofi de Philadelphie (Shelf Life, Alex G, Yung Sham…). Sur scène il s’accompagne d’un lecteur K7 pour bricoler une musique enveloppante qui oscille entre maturité folk et nonchalance pop grunge.

Guitare, voix, violon.
L’auteure, compositrice et interprète Anna Greenwood est née dans un petit village de la côte est d’Angleterre. Ses ballades, intimistes, nous portent vers un monde mélancolique empreint de rêves, d’instants fragiles.

C’est l’histoire d’une rencontre, une étincelle musicale qui vole à travers plusieurs pays sud-américains, pour chanter la terre et le sentiment qui se nourrit des racines. Kike, guitariste péruvien, et María Gabriela, chanteuse vénézuélienne, nous proposent un répertoire coloré entièrement sudaca.

Ça parle d’amour, de travail, de révolte et de bistrot.

Réouverture mercredi 17 mai, 10 heures

Le Café de la Loire a deux ans

Bal Old Time à l’occasion du deuxième anniversaire de la reprise du Café de la Loire, avec bar à paillettes et barbecue à disposition.
À cette occasion, le quai Boulay Paty sera piéton et fermé à la circulation routière.

Le gréement Le Français de passage à Paimbœuf, accostage au ponton.
Dans le cadre de Débord de Loire, fête nautique et artistique de l’Estuaire

DJ Al!X – Le Printemps

Charlotte Giteau : guitare, voix
Edwige Thirion : contrebasse, voix
Colin Neveux : batterie
Visuel : Sophie D’Ambroso, avec l’aide de Julien Funken

Avec Galaxy, Cédric et Michaël

Welsh musician and singer and songwriter based in Nantes.

Ateliers jazz, bossa, éthio-jazz de l’école intercommunale de musique sud-estuaire, encadré par Thimothée Liotard et Gilles Belouin

Issus de la scène garage-rock normande (Repeaters, Sonic Invaders…), The Peatmen proposent une musique acoustique électrifiée et tourbée. Au programme deux guitares, deux chants, stomp box, samples et harmonica. Au menu des compos qui puisent autant dans les racines des pionniers américains que dans l’énergie des sixties et de leurs rejetons. La musique des Peatmen pourrait se décrire comme le résultat d’une relation illégitime entre le combat rock et la folk pacifique, comme si la carpe et le lapin ne faisaient plus qu’un.

Ghassen Chiba est un explorateur du vaste et fertile terroir des musiques traditionnelles. D’origine tunisienne et algérienne, ayant vécu en Tunisie, il se passionne tout naturellement pour les musiques du monde et ce qu’elles véhiculent. Il fonde son langage en s’inspirant de sources aussi variées que celles de l’Inde, d’Asie Centrale, du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen et développe une approche personnelle autour de l’idée de l’émotion.
Tom Guillouzic, percussionniste et batteur, puise principalement son inspiration dans les percussions d’Afrique de l’Ouest, cubaines et brésiliennes, sans cesse en quête de nouvelles approches musicales parmi différents univers de percussions du monde.

Juan Manuel Vazquez pour la troisième fois au Café de la Loire, cette fois accompagné du percussionniste Jeronimo Aceituno.
Des retrouvailles pour partager des temps et des mouvements : ce duo est une excuse pour partager un univers musical fascinant. C’est la rencontre de deux artistes nés en Argentine, avec des trajectoires tant riches que différentes, cette aventure mise sur l’exploration du répertoire traditionnel latino-américain.
Juan Manuel Vazquez et Jeronimo Aceituno se rencontrent en 2011 à Buenos Aires. Traversés par une histoire commune, et partageant certains rythmes et manières à propos de questions et de pratiques politiques, culturelles et sociales, leurs chemins s’entremêlent à une assemblée de quartier.
Aujourd’hui, la dialectique des années vécues à différents endroits de la planète, comme l’histoire particulière qui les unit, se reflètent dans le choix de chaque chanson, texte, texture et timbre.

Concert de clôture du festival Éole en Musiques

DJ Al!X – L’Été

The Healthy Boy revient.

Les Capsules d’air sont faites pour laisser le cerveau digérer le flux d’information et les sujets contemporains et actuels : besoin de dire.
Plusieurs thématiques, impulsifs – Voyage court entre le subconscient et l’éveil.

Voyage initiatique et exploratoire dans les mondes sonores.
Mix live improvisé, presque cinéma pour l’oreille, mélange de vinyles, textes détournés, paroles importantes, entre les limbes et le subconscient, Aire de jeu laisse une grande part à l’appropriation par chacun.
Des sons au service d’un voyage rituel et tendrement humble.
Une invitation intime et fragile dans les mains d’un artisan du son.

Voyage musical s’inspirant des musiques celtiques et balkaniques, associées à des influences expérimentales.
Avec Emmanuel à la clarinette, clarinette basse et pédales d’effets, Laura à la voix, accordéon chromatiques, guitares.

Avec Blaize, Go, Léonard, Atide et Illy.
Ils sont de retour au Café de la Loire.

Flamenco Thief France Tour 2023: he’s back!

Pot-pourri, presque belge, Rose Praline, se gargarise du passé, s’amuse du futur, se délecte du présent, tel l’optimiste, ils scrutent les abîmes, sourire aux lèvres, fleur au fusil, tambour battant, apprendre à dire non, savoir dire oui.

Réouverture mercredi 11 octobre, 10 heures

Mêlant mélodies, improvisations et textures sonores minimales, le trio jazz joue sur les contrastes pour cueillir les oreilles. Le résultat risque de ressembler à des gros nuages qui passent, tantôt déversant des averses, tantôt laissant passer des rayons de soleil dans un ciel grisâtre. Et le public sera tel un randonneur, muni d’un bon parapluie et de jumelles.

Sathönay, c’est une version personnelle, un peu psychédélique et parfois bruitiste d’une certaine musique du monde. Nico Poisson (Ned, The Rubiks) a introduit le saz électrique dans ses chansons aux harmonies orientales, en solo depuis 2010, puis en quatuor depuis 2017 avec Frank (Bananas at the Audience, Le Miroir & le Marteau) à la basse, François Virot (Clara Clara, Réveille, François Virot Band) à la batterie et Léonore Grollemund (Griffure, Spirojki) au violoncelle.

Nouveau sur la scène indéparisienne, Dewey sort son EP Pinball Superstar qui mélange les codes de l’indietronica, de la shoegaze et les citations au pop-rock 00’s. Leur musique fait un focus sur l’outdating de la trentaine, la mélancolie qui s’en découle et la péremption du cool.

« Venu de Béziers, Fabulous Sheep est le manifeste rock à la française (mais chanté en anglais) le plus probant qu’il nous ait été donné d’entendre depuis longtemps. » Sourdoreille

Tamaran est un groupe de musique arabe qui rassemble plusieurs styles de musique du monde arabe dont le tarab, la hadhra, le stambeli, en y ajoutant une touche de rock. Composé du chanteur Ghassen Chiba, originaire de Tunisie, du percussionniste Bachir Rouimi du Maroc et du guitariste Julien Martin d’Algérie, Tamaran vous embarque dans un voyage musical où les rythmes du tarab et du sufi se mêlent à l’énergie du rock, la voix de Ghassen Chiba, les rythmes de Bachir Rouimi et les riffs de Julien Martin.

Le Backyard Country Family Band est un moyen de transport en commun qui t’emmènera dans la chaleur joyeuse des tripots de Louisiane, sur les berges fantomatiques du Mississipi, au milieu des herbes bleues du Kentucky, et même, si tu tues le sheriff, derrière les barreaux d’El Paso.
Une petite batterie, une contrebasse, un banjo et deux guitares acoustiques en guise de locomotive, le BCFB chante ses standards américains préférés sur les rails de Son House, de la Carter Family, du grand Johnny Cash et du vagabond communiste Woodie Guthrie.
Et ils reviennent au Café de la Loire.

DJ Al!X pour la sixième fois au CdlL
Venez avec une touche de violet !

Parce que c’est tellement bon.

Inspiré de l’histoire du Radeau de la Méduse et porté par un extrait de Océan mer d’Alessandro Baricco.
Cette performance résonne particulièrement à Paimbœuf où a été bâtie la frégate La Méduse, lancée le 1er juillet 1810.
Instruments : Nicolas Gardrat / voix : Manue Fleytoux
Nicolas Gardrat explore depuis une quinzaine d’années l’abstraction narrative en composant pour L’Œillère, Babil Sabir Cinq, Ermine ou Jonas Zugzwang. Ses cordes fouettées, malaxées et triturées révèlent des paysages guitaristiques denses et inattendus, dans lesquels la voix de Manue Fleytoux trace un chemin. Du cinéma au conte, en passant par la musique, Manue Fleytoux est une raconteuse d’histoires, des histoires scandées, criées, grondées et murmurées.

Avec Mickaël Jehanno et Moona Gay / Mise en scène Vincent Spatari
« Ohé les copains, venez vous rincer la gueule, ce soir je suis toute seule, il est mort ce matin. »
Nini se retrouve seule après la mort de son Polyte, Polyte qui la battait, la trompait, la délaissait. Paumée dans les bas-fonds Parisiens, errant de trottoirs en troquets, une virée dans le quartier de l’arsenal va renverser son destin. C’est là qu’elle se découvre une force surhumaine et devient la Môme Catch-Catch qu’on paie pour casser des gueules…

Inclassable, le trio l’est tant par son instrumentation (voix, synthés, batterie, contrebasse, électronique, saxophones, banjo) que par sa direction artistique, proposant une pop vocale inédite qui n’est pas sans rappeler les Beach Boys, Eels, Animal Collective, mais aussi Keith Jarrett ou Ornette Coleman.
Planante, lunaire, dansante, aussi sinueuse qu’aventureuse, la musique de Steak est faite de chansons à tiroirs aux structures et aux sons surprenants, à l’intérieur desquelles les voix s’enchevêtrent, se confondent et se retrouvent.

Parce que c’est tellement bon.

Réouverture mercredi 17 janvier, 10 heures

Présentation de la revue Contre-Ciel, par ses créateurs et créatrices, avec lecture de textes et chansons burlesques
Une revue nouvelle, une antinomie céleste.
Parce que la critique du ciel n’est pas finie et qu’elle ne fait que commencer, cette fois-ci, non plus pour le liquider, mais pour le soustraire des mains de ceux qui en son nom gouvernent.
Contre-ciel.
Parce que le capitalisme s’est emparé du ciel au nom de sa liquidation.
Contre-ciel.
Parce qu’aucune révolution nouvelle ne bourgeonnera sous un ciel captif.
Contre-ciel.
Parce que le ciel est ici bas et que la Terre veut y tomber.
Contre-ciel.
Parce que le ciel n’est ni réductible à l’être, ni réductible au symbole, ni réductible aux particules.
Contre-ciel.
Parce que la Terre manque au ciel.
Contre-ciel.
Avec les contributions de Mohamed Amer Meziane, Amandine André, Federico Campagna, Anna Carlier, Pierre Chopinaud, Benjamin Fouché, Justine Gensse, Angélique Humbert, Christine Lavant, Emmanuel Moreira, Frédéric Neyrat, Olivia Tapiero

Will Guthrie vient d’Australie et peut manier d’une seule main des équations rythmiques complexes. Très élégant, sans faux-semblant. Transversal, Ghassen Chiba explore les musiques d’Inde, d’Asie-Centrale, et de Méditerranée. Joachim Florent, à la basse, avant tout rythmique. À cheval et au galop entre la tradition revisitée et l’expérimentation actuelle, ce trio livre ainsi une musique d’aujourd’hui. Tant pis pour les géomètres ronchons, tant pis pour les géographes conservateurs.

Jacquotte accueille enfants et adultes dans sa roulotte (en face du bar) le temps de quelques contes.
À la chaleur du poêle à bois, enfoncés dans les coussins du canapé, à la lueur des bougies, montez avec votre verre pour partager ce moment.
Séances de dix à trente minutes.
Au Chapeau.

Jim Ballon c’est la douceur d’une vision un brin naïve, une puissante énergie libre et psychédélique, quatre voix qui s’harmonisent, fluctuent et se mélangent autour d’une confidence.
Progressives et singulières, les chansons du groupe s’étiolent en aventures spatiales, rock, électroniques, pop et transcendantes, toujours animées par l’improvisation et les recherches sonores.
Pour conserver sa fraîcheur et sa sensibilité à fleur de peau, Jim Ballon évolue constamment et revisite sa musique à chaque concert, à l’image de cette nouvelle formule en quartet, où le chant passe en français et les textures s’étirent vers l’infini.

En 2023, Mathias Dubar et Sébastien Gils, deux apôtres défroqués de la mélodie originaires de Montpellier, se sont unis dans une communion artistique pour bricoler un sanctuaire mêlant des sonorités de branleurs lo-fi à un certain idéal de la folk sophistiquée. Sébastien, messie autodidacte, arrache des psaumes torturés de sa guitare et donne âme à ses textes grâce à une voix d’une profondeur abyssale. Mathias, alchimiste du duo, ne se refuse aucun branchement douteux permettant une torture optimale de la matière sonore.
Leur opus inaugural, Uncharted Songs, est un hymne écaillé de la pop underground. Il résonne telle une liturgie hédoniste, avec ses enchevêtrements vocaux, batteries rocailleuses et ses guitares voraces de vibrato distordus. Si les deux Montpelliérains vouent un culte à leur Dieu Mark Linkous, la musique évoque au gré des titres la joie morne de Eels et l’énergie presque adolescente de Sebadoh. Plus qu’une simple mélodie, les textes sont un prélude annonçant les épreuves apocalyptiques de notre ère et un voyage dans le labyrinthe tortueux de l’âme humaine Prenez donc un moment, bénissez-vous d’un verre et entamez cette procession musicale. Avec ces deux oracles du son, vous serez enveloppés par la mystique d’Alan Fakeman. Et comme le rappelait l’éminent chaman qui les inspire : « Quand le réel devient étrange, les visionnaires se révèlent. »
Laissez donc cette musique être votre guide spirituel. Avancez vers la lumière !

« Est-ce que vous vous souvenez de ces trop courts goûters d’anniversaire où les parents du petit Enzo avaient fait le plein de soda et de bonbons crocodiles pour nourrir quarante morveux surexcités ? Le nouvel album de Tacoblaster a le goût de ces saladiers remplis à ras bord de bonbecs et de ces après-midi ensoleillés. »

Un son résolument rock, puisant son inspiration à l’international, au service de chansons sauvages. Une présence scénique empreinte d’une théâtralité fougueuse pour des concerts singuliers et conviviaux. Excellento c’est comme déguster un cornet dont les frites ne tiédiront pas.

Le Château Cosco c’est trois casseurs-rêveurs, transpirants et acharnés.
Ayant trop longtemps usé les bancs des conservatoires, ces trois grands garçons nourris de musique savante et friands de rock offrent sur scène une messe faite de sorcelleries répétitives, de montagnes sonores vertigineuses et psychédéliques.
Iconoclaste au dernier degré, Le Château Cosco invente un langage puisant dans la techno, le stoner, la noise et le jazz d’avant-garde. En déployant une énergie primale et jouissive entièrement dévouée à la transe, c’est une cérémonie mystique qui prend forme autour d’un trio étonnant resserré sur l’essentiel. Une guitare, une contrebasse, une batterie et quelques outils analogiques, c’est tout ce qu’il faut pour ciseler un son unique qui fait tour à tour l’effet d’une brise puis celui d’un séisme.

Plongez dans la douce mélancolie de la musique brésilienne avec le duo Vida Bela. Inspirés par l’héritage musical de Baden Powell et Vinicius de Moraes, ils vous invitent à un concert acoustique, sans micro, pour une expérience authentique et intimiste.
Voix, violon : Jenny Galvao / Guitare : Rodrigue Dubois
Avec un peu de chance, le vent chantera avec nous samedi et la tempête s’invitera à la fête.

Voyage musical s’inspirant des musiques celtiques et balkaniques, associées à des influences expérimentales.
Avec Emmanuel à la clarinette, clarinette basse et pédales d’effets, Laura à la voix, accordéon chromatiques, guitares.
Et ils reviennent au Café de la Loire

Projection de courts-métrages dans le cadre de La Fête du Court-Métrage.
En collaboration avec La Boîte Carrée.
Le Café de la Loire à Paimbœuf prend part à la Fête du court et fait des pieds et des mains pour ne pas parler de sport

Le Voleur invisible, 5′
Boniek et Platini, 22′
entracte
Luminaris, 6′
Molii, 14′
Le Bruit de l’intérieur de moi, 18′

La pianiste Irina Leach présente un duo qui évoque à la fois tradition et modernité. Entre compositions et arrangements personnels, son répertoire fait coexister les couleurs de plusieurs époques. Elle s’inspire des grandes figures du be-bop mais aussi de compositeurs comme Ravel, Debussy, Stravinsky. Pour l’accompagner, la pianiste a choisi Rémy Hervo, guitare et contrebasse.
Le duo vous emmène dans son univers, et on se laisse embarquer.

Réouverture jeudi 11 avril, 12 heures – en l’honneur du passage de la Goélette Brick Phoenix

Venez avec du blanc
DJ Al!x vient mixer pour la septième fois au CdlL
Graphisme Émilie Hervoche

Après des années à gratter dans les Loco’s Rock de Douarnenez, puis dans les salles rennaises, Malo, Louka, Axel, Lény et Thomas ont naturellement érigé leur groupe de rock sous le nom Mansion’s Cellar, formation psychédélique mariant influences australo-californiennes (Osees, King Gizzard) et sonorités traditionnelles (Bretagne – Gilles Le Bigot, Balkans – Altin Gun). Du rock, oui, mais avec du saxophone et du saz, pour alimenter l’euphorie de la fête géante dans laquelle nous plonge leurs mélodies, comme une détonation rock résolument dansante.

Sainte-Soline, autopsie d’un carnage, de Clarisse Feletin, Maïlys Khider, Bérénice Sevestre, Julien Bouillet, production Off Investigation/Reporterre)
Le 25 mars 2023, une manifestation organisée par des mouvements de défense de l’environnement à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) contre les mégabassines pompant l’eau des nappes phréatiques pour l’agriculture intensive débouche sur de véritables scènes de guerre. Avec près de 240 manifestants blessés, c’est l’une des plus sanglantes répressions de civils organisée en France depuis le 17 octobre 1961.
L’équipe de Off Investigation a travaillé pendant dix mois pour retracer précisément ce qui s’est passé ce jour-là à Sainte-Soline, en recoupant les minutiers de personnes présentes dans différents cortèges tout au long de cette journée, en analysant toutes les images des reporters indépendants qui ont couvert les évènements.
Pour raconter cette histoire, nous avons retrouvé Serge Duteuil-Graziani, un accompagnateur en moyenne montagne grièvement blessé à Sainte-Soline, qui témoigne pour la première fois. « Je pense que la question de l’accaparement de l’eau, des intérêts privés, ça pose une question presque de guerre de classe à l’intérieur du modèle agricole. Que ça vient soumettre des petits paysans au bon vouloir des propriétaires de ces mégabassines qui décident ou non de distribuer de l’eau à des moments-clés du monde agricole, » nous-a-t-il déclaré. Il a passé plus de six semaines dans le coma, son pronostic vital étant engagé comme celui de Mickaël Boulay, agent de tri de La Poste qui nous a indiqué « être venu en tant que gilet jaune. Sans eau, on sera tous morts ». Tous deux ont risqué leur vie à Sainte-Soline.

Jouant avec la musique comme avec le feu, le trio rock montréalais 2120 est révélé au public au printemps 2022 avec l’impétueux album 2120 in Spectacular Physical Health réalisé par la légende du Montreal-sound Jace Lasek (Patrick Watson, Suuns, Besnard Lakes). Leurs chansons allient des compositions innovantes à une énergie fiévreuse. C’est à rendre pyromane ! Inspirés par la British Invasion et le mouvement Mods des années 60, dont ils endossent l’esthétique – costumes bien taillés, cheveux symétriquement sculptés et beatle boots – le groupe ne se complait pas dans le simple hommage : il ressuscite l’âme et la chair du style, visuellement et musicalement, le propulsant vers de nouveaux horizons.

Fantaisie qui prétend élaborer et gloser des théories à partir de documents de parole enregistrée issus de la collection de l’Encyclopédie de la parole. Sorte d’ode à l’anarchie, où le poète fantasme des mécaniques de la parole qu’il décortique, expose et digresse avec l’assurance foutraque, triviale et joyeuse d’un amateur déluré. 

photo Maya Huasca

Jeune groupe très mignon.

Le Château Cosco c’est trois casseurs-rêveurs, transpirants et acharnés.
Ayant trop longtemps usé les bancs des conservatoires, ces trois grands garçons nourris de musique savante et friands de rock offrent sur scène une messe faite de sorcelleries répétitives, de montagnes sonores vertigineuses et psychédéliques.
Iconoclaste au dernier degré, Le Château Cosco invente un langage puisant dans la techno, le stoner, la noise et le jazz d’avant-garde. En déployant une énergie primale et jouissive entièrement dévouée à la transe, c’est une cérémonie mystique qui prend forme autour d’un trio étonnant resserré sur l’essentiel. Une guitare, une contrebasse, une batterie et quelques outils analogiques, c’est tout ce qu’il faut pour ciseler un son unique qui fait tour à tour l’effet d’une brise puis celui d’un séisme.
De retour au CdlL.

Le Café de la Loire a trois ans

Formé en décembre 2016, Nouяiture développe son univers musical autour d’une histoire déjantée au millième degré : l’histoire de Kreg, bon samaritain inoffensif parti en quête d’aventure et d’expériences culinaires, des limites de l’estomac et de l’esprit humain. Un set déchirant plein d’émotions et d’événements musicaux, visuels et narratifs, dans une ambiance mindfuckrock théâtrale propre au groupe. Nourrit de grunge et de jazz, en passant par le hard core et le psych rock, Nouяiture vous transporte dans son univers au cours un live viscéral épicé, débordant d’énergie, d’humour, d’absurde et de crampes d’estomac.

Ils partagent la même passion : la musique.
Originaire du Pays de Retz, ils sillonnent un univers musical éclectique : du chant polyphonique au blues, textes festifs et engagés, voix percutantes et enivrantes, accompagnées de guitares, basse, accordéon, violon et percussions.
Ils vous attendent.
Zany au chant, Julie au violon, Eugénie aux chant et percussions, Cédric aux chant, guitares et percussions, Mickaël aux chant, guitare, percussions et accordéon

Les Nantais beloteurs aux mollets magnifiques traverseront le Pays de Retz pour affronter Paimblotins, Paimblotines et leurs voisins-voisines à un tournoi de belote dès 19 heures au Café de la Loire. Le temps de se rencontrer et de revenir sur les règles, les hostilités débuteront à 19h30.
Ouvert à toustes, seul·e ou en équipe, inscriptions gratuites auprès du Café de la Loire avant lundi 20 mai.

Ensemble de l’École de Paimbœuf.

Bâti sur les cendres de Good Bad & Young, Atrium est un groupe rennais dont l’harmonie des compositions guitare/basse/batterie vient détourner le style au départ pop/folk vers un rock progressif. Sur des textes engagés de Brid Ni Chonghaile, la chaleur et la rage des deux chanteuses bousculent l’ordre établi.

Jim Ballon c’est la douceur d’une vision un brin naïve, une puissante énergie libre et psychédélique, quatre voix qui s’harmonisent, fluctuent et se mélangent autour d’une confidence.
Progressives et singulières, les chansons du groupe s’étiolent en aventures spatiales, rock, électroniques, pop et transcendantes, toujours animées par l’improvisation et les recherches sonores.
Pour conserver sa fraîcheur et sa sensibilité à fleur de peau, Jim Ballon évolue constamment et revisite sa musique à chaque concert, à l’image de cette nouvelle formule en quartet, où le chant passe en français et les textures s’étirent vers l’infini.

Première édition.
Le Sot l’y Laisse est un moment dans l’année consacré à la transmission de nos savoirs, savoir-faire, connaissances, compétences, expériences acquises. Que celles et ceux qui savent, les professeurs, partagent leurs acquis avec celles et ceux qui veulent savoir, les aspirants ! Quelques exemples au hasard : tour à bois, cuisine, pains, pizzas, dessin, sculpture, peinture (art ou en bâtiment), nœuds marins, couture, tricot, crochet, broderie, plantes (d’ornement ou médicinale), henné, lampes, modelage, musique (solfège ou instruments), soudure, origami, photo, sténopé, graff, jonglage, gravure, calligraphie, prestidigitation, échecs, ornithologie, et cætera. On est souvent ignorant de la curiosité que suscitent nos savoir‑faire.  

Pendant sept jours des ateliers prennent place un peu partout en ville. Le dernier samedi du carnaval, tout le monde se rassemblent et fête la fin du carnaval autour des restitutions d’ateliers, avec banquet, concert, bal, DJ.

Le carnaval est porté par L’Association Tout à Côté.
Tous les habitant·es, habitué·es, artisans, artistes et commerçant·es de Paimbœuf seront invité·es à participer à ce carnaval des connaissances et à le porter.

Power trio fuzz rock, front of the sea, originaire de la légendaire contrée Douarneniste.
Riche d’une influence rock garage contemporaine ainsi que 70’s, ce trio arrivera à vous transporter grâce à ses riffs brut et sauvage le tout enrobé d’un voile psychédélique.
Dans le cadre du Sot l’Y Laisse, Carnaval des connaissances et en collaboration avec L’Atac, L’Association Tout À Côté
Organisé par L’Association Tout à Côté et dans le cadre du Sot l’Y Laisse, Carnaval des connaissances

Organisé par L’Association Tout à Côté et dans le cadre du Sot l’Y Laisse, Carnaval des connaissances

La Drave est une activité ancienne destinée à accompagner la libre flottaison des troncs d’arbres dans un cour d’eau.
Depuis quelques années, c’est aussi un groupe constitué de quatre ami·es, rencontré·es en Bretagne, et naviguant parmi les airs et les ritournelles d’un imaginaire folklorique intemporel.
La texture sonore de La Drave emprunte celle du bois flotté, sculpté par les courants, les vents et les marées.