Café de la Loire

GogoJuice est un quatuor explosif venu de Rouen (Normandie), naviguant entre rock garage, alternatif, psyché et shoegaze. Leur énergie brute et leur présence scénique les placent parmi les groupes émergents les plus prometteurs de la scène normande. Ils ont déjà marqué des scènes emblématiques comme Petit Bain, Point Éphémère, Supersonic, et ont été programmés sur des festivals tels que Aérolive ou Ça Sonne à la Porte. En 2024, ils ont participé aux sélections des Inouïs du Printemps de Bourges et ont récemment remporté le prix du public John’s Session (Beauregard). Leur premier album, Rewind The Afterparty, mixé par Adrian Dépinay (MNNQNS) et masterisé par Maxime Maurel (Bryan’s Magic Tears), marque une étape clé dans leur évolution. Leur tournée 2025 sera l’occasion de le faire découvrir au public.

Plongez dans la douce mélancolie de la musique brésilienne avec le duo Vida Bela. Inspirés par l’héritage musical de Baden Powell et Vinicius de Moraes, ils vous invitent à un concert acoustique, sans micro, pour une expérience authentique et intimiste.
Voix, violon : Jenny Galvao / Guitare : Rodrigue Dubois – accoustique
Ils sont de retour au Café de la Loire

Découvert voilà dix ans avec le duo fraternel Ropoporose et revu depuis auprès des groupes Milk TV, Ada Oda ou encore Paradoxant, Romain Benard reprend du service sous son nom de fleur, avec un troisième album aux accents pop et chanson.

Après Primevère, premier opus sorti en 2020 et II, paru en 2022, III sortira en septembre 2025, toujours sur le label Figures Libres Records (Meule, Bacchantes, Mossaï Mossaï…). Presque exclusivement en français, les douze titres du disque creusent le sillon d’une musique personnelle, empreinte de poésie. On y retrouve ce goût conjoint pour la pop anglophone et la variété française, faisant se rencontrer sous son chapeau Aldous Harding et Bertrand Belin, Timber Timbre, Benjamin Biolay ou encore Big Thief.

On retrouve sur scène Yannick Dupont (Yokaï, Jahwar), Arthur Delaleu (Jim Ballon) et Aurélien Auchain (Mountain Bike).

Anciennement Maxwell Poulos Trio le Caterina Trio est un groupe franco-américain de musique instrumentale du sud de l’Italie, polkas, valses, mazurkas et tarentelles. Nous sommes particulièrement attachés à faire vivre la musique de Ballo Liscio des émigrés italiens aux États-Unis du début du XXe siècle. Musique authentique, enrichie d’interventions situant son contexte historique : le Ballo Liscio outre sa fonction d’accompagnement des danses populaires, a servi de lien social indispensable à la population italienne déplacée aux États-Unis il y a plus d’un siècle.
Une proposition artistique unique en France.
Maxwell Poulos, Quentin Bardi : mandolines et banjo, chant / Coleman Akin : guitare, violon, chant

Le trio est venu au Café de la Loire fin juillet 2024.

(Notamment à partir de la septième minute)

« Concert écrit lors de mon voyage sur place en 2021. Gernika, comme tout le Pays Basque espagnol, est empreint de cet esprit de lutte, de révolte, de mémoire. Mais loin de n’être qu’un musée mémorial, la ville est débout et son cœur bat fort sur ses places, où la nouvelle génération rit, court et joue au milieu des statues de partisan·nes en armes. Un héritage que les Basques cultivent, et dont notre époque à urgemment besoin de s’inspirer. » – Piero Berini

Pour le solstice d’hier

Les Rencontres du Film d’Archives au Cinéma – 2e édition

Rendez-vous autour de la réutilisation des archives filmiques et sonores, organisées par La Boîte Carrée
Des séances de cinéma dans la Chapelle Saint-Charles (Paimbœuf) et au Cinéjade (Saint-Brévin), des ateliers autour de la pellicule argentique, des écoutes et des projections au Café de la Loire (Paimbœuf)…

Programmation à venir !

Formé à Rennes en 2018, le duo instrumental basse-batterie Alber Jupiter s’inspire de la scène krautrock berlinoise des années 70 ou du post-rock halluciné de Godspeed You! Black Emperor pour modeler un paysage sonore aérien unique. Leur rythmique motorik se ballade entre des delays plaintifs et des reverbs intergalactiques. La magie opère immédiatement ! Le deuxième album les propulse de nouveau vers de prestigieux festivals européens.

Alber Jupiter sort en 2019 un premier album aux allures de bande sonore de film de science-fiction. Intitulé We Are Just Floating in Space, le disque amorce le décollage du groupe vers les routes d’Europe, en ouverture de pontes du rock psychédélique international comme Föllakzoid, Camera, Acid Mothers Temple ou Minami Deutsch. Le duo attire l’attention de festivals prescripteurs de la scène heavy psyché comme le festival les Trans Musicales de Rennes qui les programme cinq soirs d’affilée en décembre de la même année. 2020 aurait dû continuer sur la même lancée avec le groupe à l’affiche du festival hollandais Le Roadburn, mais la crise du covid en a décidé autrement. L’arrêt brutal des concerts permet néanmoins la composition et l’enregistrement d’un second opus à travers lequel ils poursuivent leur exploration psychédélique. Un looper, quelques pédales et le voyage devient sans limites ! La basse se transforme en guitares, violons hallucinés, cris, nappes éthérées ou distorsions. Des synthés y font parfois leur apparition, venant compléter une palette sonore déjà riche et amener le groupe vers de nouvelles contrées.

Février La Louve
Revient chaque année
À l’hiver avancé
Elle cherche un idéal coupable
Aussi chacun vient masqué
En soirée mémorable

Tous se sont préparés
À dissimuler leur visage
Ne sachant affirmer
Derrière quel personnage
Ils seront en sécurité

Mais attention
Avancer masqué
N’est pas déguisé
Et seulement devant sa figure
Le malin joue son imposture

Esprit, génie ou chimère
Indien sur le sentier de la guerre
Archétype ou catcheur
Sale type ou braqueur
Joueur ou comédien
Gueule cassé ou chirurgien
Animal totem, super héros
À toi de décider bientôt

Peu importe sur quelle tribu
Tu as jeté ton dévolu
Février La Louve…
Elle te cherche, tu te trouves.

Février La Louve
Revient chaque année
À l’hiver avancé
Elle cherche un idéal coupable
Aussi chacun vient masqué
En soirée mémorable

Tous se sont préparés
À dissimuler leur visage
Ne sachant affirmer
Derrière quel personnage
Ils seront en sécurité

Mais attention
Avancer masqué
N’est pas déguisé
Et seulement devant sa figure
Le malin joue son imposture

Esprit, génie ou chimère
Indien sur le sentier de la guerre
Archétype ou catcheur
Sale type ou braqueur
Joueur ou comédien
Gueule cassé ou chirurgien
Animal totem, super héros
À toi de décider bientôt

Peu importe sur quelle tribu
Tu as jeté ton dévolu
Février La Louve…
Elle te cherche, tu te trouves.

Février La Louve
Revient chaque année
À l’hiver avancé
Elle cherche un idéal coupable
Aussi chacun vient masqué
En soirée mémorable

Tous se sont préparés
À dissimuler leur visage
Ne sachant affirmer
Derrière quel personnage
Ils seront en sécurité

Mais attention
Avancer masqué
N’est pas déguisé
Et seulement devant sa figure
Le malin joue son imposture

Esprit, génie ou chimère
Indien sur le sentier de la guerre
Archétype ou catcheur
Sale type ou braqueur
Joueur ou comédien
Gueule cassé ou chirurgien
Animal totem, super héros
À toi de décider bientôt

Peu importe sur quelle tribu
Tu as jeté ton dévolu
Février La Louve…
Elle te cherche, tu te trouves.

Février La Louve
Revient chaque année
À l’hiver avancé
Elle cherche un idéal coupable
Aussi chacun vient masqué
En soirée mémorable

Tous se sont préparés
À dissimuler leur visage
Ne sachant affirmer
Derrière quel personnage
Ils seront en sécurité

Mais attention
Avancer masqué
N’est pas déguisé
Et seulement devant sa figure
Le malin joue son imposture

Esprit, génie ou chimère
Indien sur le sentier de la guerre
Archétype ou catcheur
Sale type ou braqueur
Joueur ou comédien
Gueule cassé ou chirurgien
Animal totem, super héros
À toi de décider bientôt

Peu importe sur quelle tribu
Tu as jeté ton dévolu
Février La Louve…
Elle te cherche, tu te trouves.

Réouverture mercredi 15 avril, 10 heures.
(photo Julian Vbax)

« Perio est un groupe rare. Parce qu’il ne sonne comme aucun autre, résolument franco-américain, dans une veine folk qui fait le grand écart entre la tradition telle que consignée dans l’Anthologie de la musique folk américaine d’Harry Smith et des sons résolument contemporains. » – La Blogothèque

Éric Deleport : voix, guitars, bass, keyboards, samples
Étienne Gaillochet : batterie
Tom Rocton : trombone, flûte, guitare, bass, keyboards, samples

Le groupe bordelais Pretty Inside arrive à point nommé avec son troisième album Ever Gonna Heal pour rappeler qu’un disque n’est pas seulement un accessoire jetable, mais le support d’une expérience commune, un miroir existentiel où se croisent et se clashent les vécus et sentiments de ceux qui les créent comme de ceux qui les écoutent. Sur scène, le groupe alterne brûlots rock aux sonorités garage et indus, perles pop baignées d’électricité shoegaze et songwriting existentiel et cathartique hérité des héros tourmentés dark et folk. Un disque aux multiples influences (d’Elliott Smith à Nine Inch Nails en passant par Swans ou Sparklehorse) dont l’homogénéité est assurée par une écriture et un chant profondément honnête, intime et puissant de spontanéité.

Le quatuor Moonback Stage écrit son histoire depuis 2017 ; elle est simple et facile à retenir. Des lycéens qui se croisent tous les jours dans les couloirs du bahut et qui se rencontrent devant une scène de festival. Des affinités qui se créent et des envies qui se délient. Moonback Stage naît alors accidentellement à Tours. Des jams et des jams plus tard, voici Echo Process, leur premier album. Les copains ont gardé la fougue de leur deuxième EP et ont distillé çà et là une dose de new rock pysché, des sonorités anglaises mais aussi des harmonies australiennes. Il en résulte sept titres, autant inspirés par Psychedelic Porn Crumpets que Shame. La claque sera live, toujours contrastée, entre tension et mélancolie.